Hier j'ai fait un tour du côté de la maison de Simon Bolivar,
le libérateur du Vénézuela. Voici quelque photo de peinture qui illustre les différentes bataille contre les espagnols.
Après avoir étudié en Espagne et visité la France, l'Italie et les États-Unis, il retourna au Venezuela prendre part à la guerre d'indépendance contre les royalistes espagnols. Il servit d'abord sous les ordres de Francisco de Miranda qu'il fit prisonnier en 1812 pour le livrer aux Espagnols. Sa brillante campagne militaire lui valut le surnom d'« El Libertador » (le Libérateur), mais les Espagnols le contraignirent à l'exil. Il revint en 1817 et s'empara de la Nouvelle-Grenade en 1819 (la Colombie actuelle), et du Venezuela en 1821. La Colombie, le Panamá et le Venezuela formèrent alors la Fédération de Grande Colombie à laquelle se joignit l'Équateur en 1822.
Avec son lieutenant, le général Antonio José de Sucre, il contribua à la libération du Pérou, déjà engagée par l'armée de José de San Martín. Il devint président de la Bolivie, pays nouvellement formé sur le territoire de l'ancienne vice-royauté du Pérou et qui prit le nom de son libérateur, le 11 août 1825 (jusqu'au 1er janvier 1826) alors qu'il était déjà le président de la Grande Colombie depuis 1819. De ce dernier pays, il conserverait la présidence jusqu'à son départ en exil en 1830. On peut considérer que jusqu'en 1826 il ne l'occupait plus que symboliquement étant donné ses campagnes dans les Andes centrales.
Il fut cependant impuissant à unifier les anciennes colonies espagnoles d'Amérique latine. Sa vision politique était trop en avance sur son temps, et il fut accusé de vouloir tout dominer, c'est à dire d'aspirer à l'empire. On tenta même plusieurs fois de l'assassiner. Ainsi, le 30 septembre 1828, il ne dut sa survie qu'à l'intervention décidée de la seconde femme de sa vie, Manuela Saenz, qui y gagna ses galons de « Libératrice du Libérateur » (Libertadora del Libertador). Déçu et malade, il se retira définitivement en 1830 et s'éteignit sur le chemin de l'exil, peu après avoir appris l'assassinat de celui qu'il considérait comme son successeur, le Maréchal de Sucre.
Selon certains historiens hispano-américains dont les travaux sont repris par le président vénézuelien Chavez, Bolivar aurait été empoisonné. Ses adversaires craignaient qu'il puisse reconquérir le pouvoir par des élections démocratiques et le défendre par les armes si le besoin était. Des investigations ont lieu pour déterminer les causes de sa mort : tuberculose ou empoisonnement criminel.
L'une des plus célèbre phrase de Simon Bolivar durant le tremblement de terre de 1812. Le peuple étant tellement affaiblie par les différentes batailles qu'il pense que même la nature est contre lui, voici donc la réponse de Bolivar :
"Si se opone la naturaleza lucharemos contra ella y las aremos que nos obedesca".
Si la nature s'oppose a nous nous luterons contre elle et nous ferons en sorte qu'elle nous obéisse.
Ale et sa cousine
Place en face du musée
Peinture de Simon Bolivar et un de ses maitres.
Bataille contre les espagnols.
Illustration de la fameuse citation du tremblement de terre de 1812.
Bataille "sobre un cayo" (cayo étant une petite ile)
Simon Bolivar
Détaille de la maison
L'une des plus célebre peinture de "libertador".
Détail de la maison
en sortant de la maison...
A l'ancienne
Ma Ka d'antant
Et bien sur fallait que je me fasse remarquer a l'étranger ! Je me suis fait filmé et je passe début janvier sur je sais plus qu'elle chaine local... Rolala..
Typo quand tu nous tiens.
Affiche de protestation
Et pour contraster le tout, une video d'une poupée de Chavez...
mercredi 17 décembre 2008
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